VICTIMES D AGRESSIONS SEXUELLES DANS LE COUPLE ET TRAUMA PIERRE DASSIGNY PSY45 SULLY SUR LOIRE
Psychothérapie Loiret - Pervers Narcissiques VICTIMES D AGRESSIONS SEXUELLES DANS LE COUPLE ET TRAUMA Psychologue Psychologie Pierre Dassigny Psychologue Loiret 45 - Justacoté 45 Meilleurs Psy 45 psychologue Loiret 45 psychanalyste 45 Loiret psychothérapeute 45 Loiret Top Psy 45 Loiret psychothérapeute 45 Loiret Top Psy 45 Loiret Psychologue sully sur loire http://www.cabinets-pierre-dassigny-psychologue-psy45600-site-web.fr/ ARTICLES TESTS MP3 VIDEOS GRATUITES pour psychologue maintenant disponible ! pierredassigny@orange.fr https://www.psychologue.net/cabinets/pierre-dassigny Pierre Dassigny 100% des patients le recommandent. En cas de besoin, vous pouvez contacter Pierre Dassigny AU : 06 88 48 50 72 02 38 36 27 53 . SI EN 2017, tout le monde s’accorde sur le fait que subir une agression sexuelle, et plus encore un viol, est grave et traumatisant, et représente une atteinte aux droits, à la dignité et à l’intégrité physique et psychique des victimes...Il y a une véritable incapacité à penser les violences et donc à les reconnaître, mais également à les entendre lorsqu’elles sont révélées. La révélation entraîne un tel stress émotionnel chez la plupart des personnes qui reçoivent la parole des victimes, qu’elles vont souvent mettre en place des systèmes de protection d’une efficacité redoutable. De plus, cette révélation remet en cause l’opinion favorable qu’elles pouvaient avoir des agresseurs, et du monde dans lequel elles pensaient vivre en sécurité. Le refus d’intégrer que de telles violences aient lieu dans des espaces que l’on pensait protecteurs et fiables, le sentiment d’horreur face à des crimes et des délits qui les rendent impensables et inconcevables, particulièrement quand ils sont commis sur des tout-petits, la peur des conséquences d’une dénonciation des violences, font que par angoisse, lâcheté ou complicité, tout sera mis en place pour dénier les violences et imposer le silence aux victimes. Cette incapacité à penser les violences et leur gravité est également alimentée par la méconnaissance de l’impact traumatique sur les victimes à court, moyen et long termes, ce qui explique à quel point la souffrance des victimes est occultée et à quel point rares sont ceux qui se préoccuperont de les réconforter et de leur prodiguer des soins. Quand les victimes vont très mal, avec une mémoire traumatique explosive, les symptômes qu’elles présentent au lieu d’être reliés aux violences et au trauma sont attribués à une pathologie psychiatrique sous-jacente, les renvoyant à un statut de malades mentales...; et quand les victimes semblent ne pas aller si mal, parce qu’elles sont très dissociées et anesthésiées émotionnellement, les violences même les plus extrêmes sont minimisées, ce n’est pas si grave, ou bien, elles sont inventées... De fait, nous sommes dans une société où le déni du viol - « et si ce n’était pas un viol? » – et la mise en cause de la victime - « et si la victime n’en était pas une? » – sont encore très répandus, trop de personnes y adhèrent et diffusent des idées fausses qui nuisent gravement aux victimes et garantissent l’impunité aux agresseurs.
https://www.youtube.com/watch?v=A-JBSkj2MUI
Produit avec CyberLink PowerDirector 15
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